ERRATUM Assessible 86 :
Le volontariat est par nature un acte gratuit. Il n’est jamais rémunéré. Mais pour qu’il reste accessible à tous, le législateur a prévu la possibilité d’un défraiement. Les montants corrects pour le défraiement forfaitaire sont les suivants : Pour le remboursement forfaitaire des frais (où il n’est pas nécessaire de fournir des pièces justificatives), en aucun cas, il ne faut pas dépasser 2 plafonds : soit 36,84€/jour ET 1473,37€ par an (montants valables du 01/01/2022 jusqu’au 31/12/2022) . Ces montants peuvent être relevés pour les volontaires du secteur sportif (entraineurs, coaches, arbitres, coordinateurs jeunes,….), les personnes qui assurent une garde de jour/nuit ou le transport médical non urgent, au montant de 2705,97€/an. A ces montants, il est possible d’ajouter le remboursement de 2000 KM de frais de déplacement aux montants suivants : En voiture : un remboursement maximum de 0,3707€/km (montant indexé au 01/07 de chaque année). En vélo : l’indemnité maximum est de 0,25€/km. En transport en commun : le remboursement se fait sur base des tickets de transport. Si le volontaire est actif dans plusieurs associations, il devra être défrayé soit en frais réels soit en frais forfaitaires : pas de possibilité de panacher.
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Monsieur Marchal du Club Photo d'Assesse nous écrit, retrouvez dans les lignes qui suivent, l'intégralité de son message ainsi que le lien vers le diaporama du Club, fichier vidéo mettant en scène le travail présenté lors de l'Expo 2021. Cher public, chers concitoyens, chers amis, A la mi-novembre, dans la salle du Conseil Communal, nous vous présentions, nous membres du club Photo d’Assesse, notre désormais traditionnelle exposition photo. Cette septième édition qui a failli ne pas avoir lieu, mais finalement, qui comme la Guerre de Troie a bien eu lieu. Cette année, je voudrais vous dire chers visiteurs, cher public ô combien vous êtes importants pour nous, vous qui prenez de votre temps pour nous rendre une petite visite. Comme l’a chanté Jean Ferrat « Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre » ? Il y a tout d’abord les visiteurs du vendredi, jour du vernissage, jour de visite protocolaire. Mais, entendons-nous bien habitants des tiges et des chavées : avec un protocole de chez nous, Y gna pon d’chichi, pon d’fioriture. Yves se fait porte-parole du club en présentant l’équipe, en résumant l’année écoulée et en dévoilant les projets de l’année à venir en présence des Autorités Communales. Cette soirée agréable se clôture habituellement autour d’un verre, le verre de l’Amitié. Viennent ensuite, les visiteurs du samedi ; le samedi matin nous rendent visite certains habitués, qui profitent d’un moment libre. Il est plaisant de les revoir, le temps passe si vite… Puis, il y a les quelques curieux qui découvrent l’exposition fortuitement lors d’une visite à l’Administration Communale. C’est une rencontre que j’apprécie personnellement, le visiteur est généralement pressé, mais il a un avis sur l’exposition. L’exposition ne lui est pas indifférente. Sa visite est peut-être motivée par amitié, mais surtout par la curiosité. Il est fort agréable de dialoguer. L’après-midi est un moment prisé par les représentants des clubs photos amis et des connaisseurs. Le vocabulaire employé y est d’ailleurs plus spécifique ; il n’est pas rare d’entendre des mots tels que cadrage, diaphragme, ouverture, temps de pose, etc. Le dimanche matin est traditionnellement fréquenté par les personnes d’un âge plus respectable. Les différents avis se débattent autour d’un apéro. Finalement, le dimanche après-midi, les photographes se rassemblent tous pour accueillir leurs amis et membres de leur famille, venus les encourager, ce sont en quelque sorte leurs supporters. C’est un moment de rencontre où les avis sur les bières spéciales proposées au bar sont aussi discutés que les différentes œuvres exposées. Mais revenons un peu à la photographie en question. A l’heure où les smartphones permettent de réaliser des photos d’une qualité technique remarquable. Les nouveaux photographes en herbe tentent souvent maladroitement de figer l’instant pour des raisons louables ou non. Je vois trop de monde brandir le GSM pour réaliser un selfie à tel endroit ou avec telle personne pour unique but de prouver : j’y étais ! Et puis il y ces personnes qui passant un moment tellement agréable qu’ils désirent l’immortaliser au cas où le cerveau l’oublierait. Ces clichés sont souvent stockés anarchiquement dans la mémoire du GSM jusqu’à leur effacement ou remplacement par d’autres clichés. Au travers de cette exposition, nous, les membres du Club Photo d’Assesse tentons de vous présenter des photos que nous revendiquons orgueilleusement œuvres d’art. Nous vous proposons notre vision du monde réel ou imaginaire qui nous entoure. Nous tentons de coller à la maxime d’Henri Cartier Bresson : « Photographier c’est mettre sur la même ligne de mire la tête, l’œil et le cœur ». Et pour vous en convaincre, nous vous donnons d’ores et déjà rendez-vous l’an prochain. Je vous invite à voir ou à revoir notre diaporama présenté à l’exposition ainsi qu’à suivre nos activités à venir sur le lien suivant : https://youtu.be/1FTscb04xEU En vous remerciant pour vos encouragements, En vous remerciant de votre soutien, En vous souhaitant une agréable année 2022 à vous et vos proches, Pour le Club Photo d’Assesse, Cordialement, Marc Marchal
Afin d'agrémenter notre publication Assessible de février 2021, voici les informations que nous vous proposions de consulter sur notre site.Notre édition papier étant limité en taille, nous n'avons pu fournir l'intégralité de la superbe présentation de Marc Marchal. Grâce au numérique, retrouvez cet article de manière complète dès à présent. Connaissez-vous le Club Photo d'Assesse ? Qui sommes-nous ? De quoi parlons-nous entre nous lors de nos réunions, comment s’organise l’année, quels sont nos projets futurs ? Le secret enfin révélé ! Nous sommes un groupe de passionnés de photographie qui se réunit deux fois par mois. D’un point de vue artistique, nous nous distinguons les uns des autres par notre style. Notre flux de production est numérique. Mais des prises de vue argentiques ne sont pas incompatibles avec notre club à partir du moment où elles sont numérisées. Nous nous revendiquons libres, nous ne sommes affiliés à aucune association, nous n’acceptons aucune contrainte artistique ! Nous nous plions aux seules contraintes techniques imposées par le média de diffusion choisi. Il n’y a pas de hiérarchie interne au club. Sur un plan personnel, nous nous connaissons très peu. C’est très bien ainsi. Notre groupe est mixte. Emile, notre benjamin n’a pas 16ans, il fréquente le club lorsque ses activités scolaires le lui permettent. L’âge de nos aînés est suffisamment respectable pour ne pas être dévoilé. Ne vous méprenez pas, ils ont toujours l’œil alerte ! Nous discutons de la manière de traiter un sujet. De la manière d’accéder au lieu de prise de vue, de l’heure à laquelle il faut s’y rendre, des autorisations nécessaires, … Après, libre choix au photographe de « créer » son image, de remplir le cadre avec ses tripes. C’est au photographe d’organiser sa composition pour produire son image. C’est cela la liberté du photographe dont je vous ai parlé dans l’article précédent. Bien évidemment, autour de la table, les artistes qui ont déjà pratiqué ce genre d’image font bénéficier les novices de leurs expériences. Chacun notre tour, nous présentons notre travail à nos collègues. La photo est projetée sur un grand écran. L’artiste présente sa photo en expliquant les détails qu’il désire faire connaître aux autres ou simplement laisse filer l’imaginaire de chacun. Ensuite, dans le plus grand respect, nous critiquons la photographie, en analysant ce qui fonctionne bien, ce qui fonctionne parfois moins bien. Nous cherchons ensemble des pistes d’amélioration lorsque c’est possible. De grands débats s’engagent entre les partisans du cadrage serré et les partisans du cadrage large, sur la saturation des couleurs… Une réunion sur deux, le thème est imposé, la séance suivante, il est libre. Tout le monde ne présente pas forcément de photo à chaque séance. Il n’y a pas non plus de quota. Nous présentons seulement un maximum de huit photos par artiste par séance.Nous tentons de nous concentrer sur ce qui fait l’image, une bonne image, ce qui la compose. Les considérations matérielles et techniques sont au sein de notre club reléguées au second plan, voir même plus loin pour certains. Comme dans la majorité des associations, il a une mi-temps, une pause où autour d’une collation, nous discutons le coup, nous rejouons les matchs, c’est le temps de la rencontre, de l’amitié, c’est un moment de partage fort agréable. Comme vous le savez, nous organisons une exposition annuelle. Celle-ci nous prend plusieurs mois de préparation. Chaque membre prend part à la bonne réalisation de celle-ci. Certains d’entre nous « experts » dans un domaine conduisent une sortie photographique sur un thème choisi. Ces sorties photographiques sont très enrichissantes et donnent lieu à un partage de connaissances permettant une progression du groupe. Nous nous groupons pour visiter différentes expositions. Ces visites nous permettent de nous positionner et nouer des relations avec d’autres photographes et associations. Nous suivons de près l’actualité photographique régionale. Annuellement, nous tentons d’inviter un orateur afin qu’il nous parle de sa passion. Sans la crise sanitaire, cette année, notre Club aurait accueilli Martin Steenhaut, photographe animalier bien connu.
Retour vers les Kermesses, partie II Elles n’ont pas eu lieu et pourtant, on a pensé à elles. A l’ACSTA, on s’est dit : "Pourquoi pas tenter de retrouver quelques affiches et anecdotes ? ". Mission lancée !Nous joignons les contacts de l’ACSTA, nous lançons même un appel sur les réseaux sociaux, voici les retours. Anecdote d’une kermesse de Sart-Bernard : La kermesse sartoise a cela de particulier, par rapport aux autres kermesses de l’entité, qu’elle a toujours lieu le deuxième week-end d’octobre, jour de la Saint-Denys (patron de Sart-Bernard). Les Sartois ont donc, tous les 6 ans, le devoir de se présenter aux urnes afin d’élire les mandataires communaux. Cette démarche citoyenne se déroule donc souvent dans la joie et la bonne humeur légendaire car le dimanche des élections est toujours festif… du moins avant le dépouillement ! Les Maîtres Jeunes Hommes (MJH) accueillent les Sartois dans la cour de l’école communale où sont installés les isoloirs pour les " devoirs électoraux ". A cette occasion, ils offrent un petit pèkèt et une cocarde à chacun. Cette année-là… les MJH avaient reçu des lots à offrir pour les diverses animations qui étaient organisées tout le week-end. Une charmante Sartoise leur avait remis la veille un cubi de 10 litres de vin pour participer en tant que sponsor. Un des MJH, qui se présentait sur une des listes électorales, se trouvait justement dans la cour lorsque la donatrice est sortie de l’école après avoir accompli son devoir électoral. Spontanément le MJH candidat est allé vers la donatrice lui dire merci (sans préciser que c’était pour le cubi des 10 litres de vin)… et la donatrice étonnée lui a répondu : " Ah bin mince alors…comment sais-tu déjà que j’ai voté pour toi ! " Nous n’avons pas retrouvé le cubi légendaire mais une photo d’une banderole de 1987. Merci à Pascale Brichard pour cette petite histoire. La Fête du bois à Assesse, une autre page d’histoire :
Le Syndicat d’initiative a dépoussiéré son jeu de quilles, les patronnés ont invité les plus agiles au mât de cocagne, les jeunes ont défié d’enfoncer un clou en trois coups de marteau, la bibliothèque a étalé ses livres traitant du bois et bien d’autres comités ont répondu à l’appel pour faire goûter à leurs spécialités. Ils n’en attendaient pas tant mais 3000 personnes ont visité cette édition de 1995, un succès retentissant. Mais au fait, pourquoi le bois ?Le village d’Assesse est entouré de forêts. Historiquement donc, tous les métiers du bois y étaient représentés. Certains subsistent d’ailleurs comme les scieries et menuiseries. Le sujet est vaste et 50 artisans participent à l’animation sous les yeux du public : tourneurs, vanniers, restaurateurs de meubles anciens, ébénistes, sculpteurs, pyrograveurs, sabotiers, fabricants de râteaux en bois, peintres et décorateurs du bois. Le public eut même l’occasion, au fil des années, d’admirer l’élagueur, pendu à sa corde et sautant d’une branche à l’autre, sans oublier le débardeur et les sculpteurs à la tronçonneuse. Puis, de 1996 à 2001, 6 à 8000 visiteurs ont rendu visite à la Fête du Bois. Si les chiffres se sont un peu perdu pour les autres années, cette manifestation annuelle avait acquis une notoriété impressionnante, dépassant même nos frontières ! A propos de frontières, en 2001 et 2002, un invité d’honneur : la région des « Vosges ». Trente Vosgiens de Gerbépal et Rochesson font découvrir au public émerveillé le travail du bois dans leur région : démonstration de schlittage, groupe folklorique et artisanats vosgiens divers. De très beaux souvenirs. Et comme nous aimons les petites histoires, nous remercions Christiane Marchal pour celle qui suit : En 1995, l’objectif des organisateurs de la première Fête du Bois, était de rassembler un maximum d’Assessois autour d’une même fête. Imaginez notre surprise avec 3000 visites ! Pour l’anecdote, le comité fier et un peu fou à la fois du succès de cette première édition, avec 12 comités présents à l’organisation et épaulés d’une centaine de bénévoles, a rangé dans l’euphorie le site de la Fête du Bois jusqu’à 2h00 du matin, sans répit. En se réveillant quelques heures plus tard, les riverains ont pu constater un endroit rangé et propre comme si rien ne s’était déroulé, ce fut l’étonnement ! Et pourtant les échos de cette festivité ont encouragé le comité à réorganiser les fêtes suivantes, le succès toujours grandissant a perduré pendant 20 années consécutives. Merci également à Marcel Dauwen et Hugues Lecomte pour leurs indices ayant permis de trouver de l’information sur le sujet. Cliquez sur le bouton ou les images qui suivent pour retrouver une brochure de 2002 et un programme de 2011 de la Fête du Bois :
Afin d'agrémenter notre publication Assessible de décembre 2020, voici les informations, affiches et données que nous vous proposions de consulter sur notre site. Comme promis dans notre édito, cliquez-ici pour retrouver le scan du premier Assessible daté de mars 2002 ! Retrouvez-y de la page I à la page VIII les associations et clubs qui animaient l'entité il y a 18 ans et plus. Retour vers les Kermesses, partie 1 Elles n’ont pas eu lieu cette année et pourtant, on a pensé à elles. A l’ACSTA, on s’est dit : "Pourquoi ne pas tenter de retrouver quelques affiches et anecdotes ? ". Mission lancée ! Maillen : Pour la " Commune de Maillen ", notre pépite sera une affiche de la kermesse de 1921 partagée par la Jeunesse de Maillen. Nous remercions Mathieu Sprimont pour la copie numérique de cette affiche. Ci-joint, voici quelques clichés de l’affiche, on remarque l’état du bien après un petit siècle, superbe. Cliquez-ici pour voir l'affiche de la Kermesse de 1921 en fichier pdf de qualité supérieure. Clichés du cadre qui abrite l'affiche. Comment les gens s'amusaient-ils à l’époque ? Le dimanche 18 septembre 1921, après la messe, les hommes mariés se retrouvaient au Café Fifi Scarbotte pour jouer aux cartes (jeu de piquet). Pour les amateurs de " jeu de couïons ", le rendez-vous était au café Fosséprez. La Jeunesse de l'époque se réunissait l'après-midi du dimanche pour la danse d'honneur et la remise des cocardes. S'en suivait un bal dans chaque café. Après la messe du lundi, les villageois se réunissaient sur la place. Les jeunes filles qui dansaient, pouvaient participer à une tombola. En début d'après-midi, un carrousel cycliste précédait des jeux de quilles pour tous les amateurs et le soir, bal et réjouissances clôturaient la journée. Chose que l'on ne voit plus sur une affiche, le mardi commençait avec le réveil à 11h. L'après-midi faisait place à des propositions de différents jeux dans les cafés du village, nombreux prix à la clé ; jeu de quilles pour jeunes filles au Café Paquet, jeu de bouteille au Café Hébette, jeu de Porcelet au Café Verlaine, jeu de pierrot pour jeunes filles, tous s'amusaient jusque 17h avant d'à nouveau écouter de la musique. C'est deux dimanches plus tard que se terminait cette kermesse 1921. Dès 13h, un grand concours de jeu de balle était organisé et pour clôturer, chaque café organisait un bal en fin d'après-midi. Sorinne-la-Longue
Saviez-vous d’ailleurs qu’à Sorinne-la-Longue, il y avait un concours photos ? Organisé par la Jeunesse et le Foyer sorinnois, il fallait trouver le nom d’un établissement, sa localité et l’objet insolite placé sur le cliché. Était-ce facile avec la qualité d’impression d’il y a 30 ans ? Voici deux captures, à vous de jouer ! Pendant ce temps-là, à Courrière :Nous remercions Jean-Marie Dubois pour des affiches de 1985 à 1995 et des affichettes de 1971 à 1974 imprimées où l’on découvre des programmes fabuleux avec en 1971, un Grand Bal emmené par l’orchestre musette " The Sylvers ". Le 09/09/1979, un tour de chant au programme où petits et grands de 4 à 104 ans pouvaient s’inscrire afin d’interpréter un titre accompagné de la Fanfare et où " Clique et Majorettes " ainsi que " Rondo Final " animaient la soirée dès 20h. Entre concours de couyon, jeu de la queue du cochon et repas festifs, on ne s’est jamais ennuyé à une Kermesse de Courrière. Anecdote Crupétoise Et à Crupet, voici une petite perle qui nous fait bien rire à l’ACSTA, merci à Marcel Pessesse pour son témoignage :
Anecdote ? Peut-être celle-ci en 1977 : A cette époque, les hommes de Crupet se rassemblaient pour faire des randonnées en vélo. Pour la kermesse, nous avions décidé d'organiser une course à vélo « entre nous ». Erreur dans le programme annoncé sur le journal, nous avons fait mention d'une course à vélo. Résultat : Samedi midi, le village était envahi de voitures et de coureurs venus de tous horizons s'inscrivant pour la course. Je ne me souviens plus du nombre, mais c'était assez impressionnant ! Nous avons improvisé, (pris de gros risques au plan assurances...), et organisé la course. Tout s'est finalement bien terminé. A notre époque, une telle chose ne serait plus possible. Pour le 80ème anniversaire du début de la seconde guerre mondiale, une exposition commémorative s’est tenue à Assesse en l’Eglise Saint-Martin.
Faisant partie de l’histoire, l’exode de Lucienne Philippart retient l’attention. En mai 40, la Belgique est envahie, de nombreux belges se réfugieront en France. Ayant quitté Assesse avec quelques affaires en direction de Montbazin (Hérault), Mme Philippart y restera plusieurs mois. Suite à un échange de courriel, sur la photo ci-dessus, on apprend qu’il s’agit d’un soldat Belge, de Paulette et Fernand Collière chez qui Mme Lucienne Philippart a été accueillie avec sa famille. Alors âgée de 12 ans, elle a fréquenté l’école à Montbazin jusqu’à la fin juin 1940. Ils sont rentrés en Belgique au mois d’août. Le site http://www.memoiredemontbazin.fr/des-hommes/les-belges-reconnaissants/ nous gratifie d’un témoignage de Mme Philippart, enregistré chez elle le 1er août 2019, relatif à l’exode à Montbazin. Elle confie des souvenirs précieux. Besoin d'une information supplémentaire ? N'hésitez pas à joindre Marcel Dauwen, Président de d'APPEL au 083 65 65 65. Ce 14 avril 2019 dernier et malgré une journée glaciale ainsi que la présence de la neige, 99 véhicules étaient présents au départ du château d'arche de Maillen.
Grâce à l'organisation des " Vieux volants namurois " et de l'aide de la Jeunesse de Maillen, cette journée fut une réussite ! Très active, la Jeunesse de Maillen nous fait part de ses premiers événements de l'année, il y en a pour tous les goûts ! 03/02/2018 : Soirée Winter Xperience - Tempête de neige Premier événement de l'année sous l'image du froid, de la neige mais dans une ambiance dansante et chaleureuse grâce aux structures, lumières et lasers de ♫♫ SONO PARADISE ♫♫ nous ayant offert 2 Guests de feu : « DJ Geoff vs Arnaud W » & « DJ FREDO » ! Deuxième année consécutive que l'on doit clôturer les entrées avant la dernière heure ! 300 personnes atteintes à 23 heures ! L'année prochaine, un changement de salle est prévu pour pouvoir accueillir autant de monde que possible ! Le photographe de Overview nous a permis d'immortaliser nombreux souvenirs de cette soirée grâce à sa présence que vous pouvez retrouver sur notre page Facebook. 11/02/2018 : Pièce de théâtre – « Mise en boîte »
Un jeu de scène mêlant rires et réflexions pouvant aussi nous permettre de nous remettre en question sur le sujet de la pièce. Les trous de mémoire laissant ressortir de l'autodérision et de l'improvisation de la part des comédiennes (et du comédien) ! Certes, étant la première édition de cette nouveauté dans notre marathon pour récolter des fonds au profit du Télévie nous n'avons pas eu beaucoup de monde. Nous remercions les curieux et amateurs de théâtre, jeunes moins jeunes pour leur participation et espérons vous voir plus nombreux encore lors de la prochaine édition. 17/02/2018 : Souper aux moules Après quelques années d'absences, le souper aux moules du Télévie à Maillen a fait son grand retour ! La Jeunesse de Maillen, en collaboration avec les aînés du village, vous invitait à venir passer une soirée agréable et chaleureuse tous ensemble autour d'un bon et copieux repas ! Le souper moules-frites est la spécialité de notre pays alors autant en profiter pour une bonne cause en étant tous rassemblés dans un seul et même endroit ! Les moules ne sont pas votre mets favoris ? Aucun problème, nous vous proposions un plat de boulettes sauce tomate-frites ! De plus, un menu enfant est proposé, il n'y a pas d'âge pour la solidarité ! Une petite animation chantante vous a été proposée lors du souper pour créer une ambiance amicale et dans la bonne humeur ! Lorsque le souper fut terminé, DJ Boutsi s'est mis aux platines et nous a offert une petite soirée musicale et dansante ! 25/03/2018 : Marche gourmande
Parce que certains de nos membres d'associations locales étaient à l'école à Assesse, nous avons pensé que cet article pourrait vous plaire. Les réunions d'anciens, toujours de belles retrouvailles et des moments intenses de nostalgie. Par Martine Hayot : Une idée qui germe dans la tête, juste par fantaisie : rassembler la classe 50 ans après (1967). Finalement pourquoi pas? Et voilà comment cette belle rencontre a commencé. Recherches à gauche, recherches à droite, aidée par Eric polet, cette super machine était en route. Le directeur de l'école, M. Scoyer, a accepté de nous accueillir dans les locaux rénovés depuis; nous avons donc retrouvé notre classe et surtout notre institutrice, Soeur Albert Marie, heureuse de nous revoir. Elle est là , après 50 ans, bon pied bon œil, toute souriante. L'un après l'autre ceux qui ont répondu présent arrivent. Enthousiasme et plaisir partagé. Nous posons pour la super photo: nous avons si peu changés ! ;-) Anecdotes d'enfance autour d'un goûter, franches rigolades et promesse de se revoir dans 5 ans. L'ACRF partage avec nous le compte rendu du colloque de décembre. C’était le titre du colloque que le mouvement ACRF – Femmes en milieu rural a organisé avec Nature & Progrès et VSZ en décembre dernier. Il faut dire qu’entre le fipronil, les pesticides et les maltraitances animales dans des abattoirs, l’année 2017 n’avait pas de quoi nous mettre en appétit. Des experts nous ont (en partie) rassurés.
Entre la colère des éleveurs face à la campagne « 40 jours sans viande », les images choquantes d’animaux maltraités dans des abattoirs flamands et les fausses rumeurs sur l’interdiction faite par l’Agence Fédérale de la Sécurité Alimentaire (AFSCA) d’apporter un gâteau « fait maison » à l’école… L’année 2017 a été riche en rebondissements dans le monde agricole. Le colloque organisé conjointement par nos trois organisations de consommateurs était l’occasion de faire le point. Ce mois-ci, focus sur le bien-être animal et les pesticides. Un article sur le fonctionnement de l’AFSCA suivra prochainement. Les policiers du bien-être animal Après des vidéos choquantes tournées en caméra cachée dans des abattoirs français et largement relayées chez nous via les réseaux sociaux, la Belgique (la Flandre) a aussi connu ses « scandales » en matière de bien-être animal, en 2017. Des maltraitantes sur des porcs, à l’abattoir de Tielt, et sur des bovins dans celui d’Izegem, ont défrayé la chronique. L’occasion de se demander comment sont organisés les contrôles dans ce domaine. Élisabeth Bernard et Bruno Cardinal, vétérinaires, membres de l’Unité Bien Être Animal, créée en 2015, au sein du département wallon de la police et des contrôles ont présenté leur service, composé de 17 personnes. En 2017, l’unité a ouvert plus de trois mille dossiers. Une partie sur base de plaintes (2000) et d’informations transmises par l’AFCSA lors de ses propres contrôles, mais l’Unité mène aussi ses propres contrôles, planifiés mais pas annoncés dans les laboratoires, les abattoirs (minimum une fois par an). Il n’y a en revanche pas de contrôles systématiques chez les exploitants agricoles. En 2016, environ 10 % des exploitations ont été contrôlées. Parfois, les agents BEA doivent se rendre sur place. « Même si je ne porte pas d’uniforme, je suis agent de police judiciaire, explique Élisabeth Bernard, coordinatrice de l’unité. Souvent, on nous prend pour des gens de la protection animale, mais nous sommes des fonctionnaires, qui travaillons de façon la plus objective possible, même si on peut comprendre le côté émotif lié à ce sujet. » Il faut savoir également qu’un chargé de mission de l’UBEA procède à un examen ante-mortem de tout animal abattu. En cas de maltraitance, on peut programmer un contrôle dans l’exploitation d’origine. Dans les abattoirs où plus de 1000 bêtes sont abattues par an, un autocontrôle est également assuré par un responsable du bien-être animal. Que contrôle-t-on ? Les agents se basent sur des feuilles de route pour vérifier que les animaux sont aptes au transport, que celui-ci n’est pas trop long, que l’abattage et les opérations connexes se font dans le respect du bien-être animal (étourdissement, etc.). Dans les abattoirs, la structure des bâtiments (largeurs des couloirs), la formation du personnel sont également contrôlés. « Par rapport au nombre de dossiers ouverts, le nombre de procès-verbaux dressés (46 pour des exploitations et 3 pour des abattoirs en 2017) est assez faible », estime l’agent Bernard. De nouvelles règles en 2018 ? Il existe un projet d’arrêté wallon qui devrait être voté en 2018. S’il passe dans son état actuel (ce qui est probable, selon Bruno Cardinal), il prévoit : - Une autorisation BEA délivrée aux abattoirs qui prouvent qu’ils respectent la loi. « Ainsi en cas de problème, on leur retire l’autorisation. » - De la formation continuée. « Le certificat de compétences obligatoire pour pouvoir abattre un animal est trop peu exigeant à ce stade », estime le vétérinaire Bruno Cardinal. - De la vidéo-surveillance, avec dérogation possible pour les petites structures. - Une notification obligatoire de cas de maltraitance constatés. « Les vétérinaires déjà obligés de signaler certaines maladies, on mettrait la même chose en place au niveau de l’abattoir sur le plan du bien-être animal. » Pesticides, stop ou encore ? Wallonie sans pesticides, renouvellement de l’autorisation du Glyphosate par l’Union européenne… Si une telle saga sortait en grand feuilleton de l’été, on signerait des deux mains. Sauf que c’est tout sauf de la fiction et qu’entre des agriculteurs qui disent ne pas être en mesure de renoncer aux pesticides (« il y a va de la survie de ma ferme ») et une opinion publique qui s’en méfie de plus en plus (« il y va de notre santé »), le sujet est devenu une véritable sujet de société. Très clivant ! Bonne nouvelle : le plan wallon de réduction des pesticides est sur les rails. Et, selon Steve Braem, de l’Association belge de recherche et d'expertise des organisations de consommateurs (AB-REOC), contient de très bonnes idées. « Reste à espérer qu’elles seront appliquées, car les plans régionaux et fédéral ne sont pas dans des directions suffisamment convergentes, selon moi. » Moins bonne nouvelle, en tout cas aux yeux des 1,3 millions d’européens qui ont signé la pétition demandant l’interdiction du glyphosate, la molécule présente dans le célèbre RoundUp de Monsanto a été autorisée pour cinq ans de plus dans l’Union européenne. Pour rappel, le glyphosate est classé comme « cancérogène probable » par le Centre international de Recherche contre le Cancer (CIRC), rattaché à l'Organisation mondiale de la Santé (OMS). La Belgique et la France étaient parmi les neuf pays opposés à cette autorisation. Chaque État Membre est libre de l'interdire sur son territoire. En Wallonie, l’utilisation (qui relève des régions) du glyphosate par les particuliers est interdite depuis le 1er juin 2017. Paradoxe : la vente (du ressort fédéral), elle, ne l’est pas encore… Maïder Dechamps
Le mois d’octobre était vraiment à l’heure de la fête, du début à la fin. Les réjouissances ont débuté avec la traditionnelle kermesse qui a encore bénéficié des derniers rayons de soleil de l’arrière-saison. La cuvée MJH (Maîtres Jeunes Hommes) 2017 était tout sourire pour proposer à tous les villageois un programme aux couleurs tantôt apéritives avec son devenu célèbre coucou sartois, tantôt sportives, tantôt cubaines et même révolutionnaires. Mais aussi aux couleurs des « batailles » amicales des jeux de quartier, des délicieux repas partagés et surtout aux couleurs de l’amitié qui règne entre toutes les générations sartoises ! La fête d’Halloween a clôturé en beauté ces festivités automnales. A l’initiative du CJSB, du CAS, de l’accueil extra-scolaire et des Lutins, un « horrible après-midi » s’est déroulé en la salle dramatique le samedi 28 octobre. Dès 15h30 les enfants étaient attendus pour un parcours sinistre débutant dans les caves transformées pour l’occasion en circuit de l’épouvante et se terminant au cœur de la salle où des jeux, un goûter, des maquillages ou des épreuves permettaient aux enfants de se préparer à la piste aux bonbons dans le village. A 17h30, sous les ordres du grand sorcier, la troupe des petits et grands monstres (évaluée à 150 participants selon les organisateurs et à 550 selon la police !) a sillonné le village à la récolte des bonbons, lançant leurs maléfices aux plus récalcitrants. Un bal des vampires a clôturé cette belle journée et chacun est reparti avec un morceau du butin (23 kg) des friandises récoltées. Merci à tous les généreux donateurs sartois et à l’année prochaine ! Qu’on se le dise ! |
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Mars 2022
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